Ainsi commence ma chute

Quel soulagement quand le cuir de ses gants lâcha mon col et que je fus libéré de l’étreinte !
Un souffle sur la nuque puis je me souvins que mon corps était désormais séparé du bitume par 22 étages aux vitres impeccables.
Il n’y eu pas de rétrospective existentielle : juste une succession d’images subliminales et désordonnées qui me rappela un film de Fellini.

Nicolas Schiavi