Après la tempête

La veille, une vague avait secoué le bateau sans en troubler la course.
Fokke aimait tant la mer qu’il aurait pu voguer pour l’éternité.
Mais lorsqu’il remonta ce matin-là et salua les marins qui erraient sur le pont du Hollandais, il éprouva pour la première fois une sorte de lassitude.

Sarah Beaulieu

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