Depuis qu’il est mort, en mai 1854, Emotaf hante malgré lui le minuscule appartement qu’il habitait sous les combles d’un immeuble de l’avenue Vaugirard, un « une pièce » bien trop exigu pour être partagé avec des vivants.
Excédé par les hurlements hystériques des locataires qui se succèdent, il a résolu d’entrer en contact avec la belle agente immobilière chargée de la location des lieux.
Elle laissera l’appartement inoccupé s’il parvient à en payer le loyer qu’elle viendra collecter en personne chaque mardi à minuit pile.
Excédé par les hurlements hystériques des locataires qui se succèdent, il a résolu d’entrer en contact avec la belle agente immobilière chargée de la location des lieux.
Elle laissera l’appartement inoccupé s’il parvient à en payer le loyer qu’elle viendra collecter en personne chaque mardi à minuit pile.